Vous l’avez sans doute déjà remarqué mais les vélos modernes sont de moins en moins souvent équipés des bons vieux catadioptres. Ce dispositif qui a pourtant fait ses preuves est à présent remplacé par un clignotant à piles. Ce système étant onéreux à moyen terme, je vous propose de le remplacer par un montage à batteries rechargeables. Le principal avantage est que la charge s’effectue pendant la promenade pendant que le cycliste pédale. Il vous faudra avant de commencer l’installation, récupérer sur une vieille bicyclette, une dynamo. Cette appelation est d’ailleurs trompeuse, puisqu’il s’agit en fait d’un alternateur. Ceci explique la présence du pont redresseur dans le montage.
La batterie choisie est un monobloc rechargeable. Ce modèle ressemble à une pile de 9 volts mais sa tension nominale n’est que de 7,2 volts, pas de danger donc pour une ampoule standard. Dès que le vélo est en mouvement, une tension redressée de 6 volts arrive simultanément sur le pôle positif de la batterie et via une diode anti-retour sur la grille d’un transistor FET. Ce dernier se met alors à conduire et la lampe est alimentée via le courant de drain. Quand le vélo est à l’arrêt, le condensateur placé dans la ligne de grille se décharge lentement à travers la résistance qui lui est associée. De ce fait le transistor reste conducteur pendant encore deux minutes et c’est la batterie qui se charge d’alimenter l’ampoule. Une fois le condensateur déchargé, le FET est bloqué parce qu’il ne reçoit plus sa tension de polarisation. Le grand avantage est que ça évite de décharger la batterie une fois le vélo au garage.
La batterie choisie est un monobloc rechargeable. Ce modèle ressemble à une pile de 9 volts mais sa tension nominale n’est que de 7,2 volts, pas de danger donc pour une ampoule standard. Dès que le vélo est en mouvement, une tension redressée de 6 volts arrive simultanément sur le pôle positif de la batterie et via une diode anti-retour sur la grille d’un transistor FET. Ce dernier se met alors à conduire et la lampe est alimentée via le courant de drain. Quand le vélo est à l’arrêt, le condensateur placé dans la ligne de grille se décharge lentement à travers la résistance qui lui est associée. De ce fait le transistor reste conducteur pendant encore deux minutes et c’est la batterie qui se charge d’alimenter l’ampoule. Une fois le condensateur déchargé, le FET est bloqué parce qu’il ne reçoit plus sa tension de polarisation. Le grand avantage est que ça évite de décharger la batterie une fois le vélo au garage.
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